Le discours impromptu
Le discours de la raison a toujours posé deux grands problèmes à Gordon Giovani. En premier lieu, il ne savait pas faire de discours. Ensuite, question raison, j’aime autant pas vous faire de dessin. Si bien que quand il est tombé sur le “Faiseur de beaux discours”, il s’est fait très mal, notre inspecteur. A la tête d’abord, car c’est par là qu’il est tombé.
Vous me direz, la tête n’est que subsidiaire concernant notre détective. Eh bien vous aurez tort. Car comme tout le monde, c’est par la tête que Gordon Giovani avait du sentiment. Oh, pas beaucoup, mais on n’est pas des bêtes tout de même ! Donc, Gordon ressentait bel et bien des choses. Des choses étranges, à propos de tout et de rien.
En définitive, comme chaque fois, il était loin. Bien trop loin pour entendre ou voir quoi que ce soit. Ce qui ne l’empêcha guère de donner son avis aux Impromptus Littéraires, lesquels en référèrent à qui de droit, c’est à dire à personne. Une sombre histoire en vérité, qui se passe définitivement de tout discours…
A suivre par là…
Vous me direz, la tête n’est que subsidiaire concernant notre détective. Eh bien vous aurez tort. Car comme tout le monde, c’est par la tête que Gordon Giovani avait du sentiment. Oh, pas beaucoup, mais on n’est pas des bêtes tout de même ! Donc, Gordon ressentait bel et bien des choses. Des choses étranges, à propos de tout et de rien.
En définitive, comme chaque fois, il était loin. Bien trop loin pour entendre ou voir quoi que ce soit. Ce qui ne l’empêcha guère de donner son avis aux Impromptus Littéraires, lesquels en référèrent à qui de droit, c’est à dire à personne. Une sombre histoire en vérité, qui se passe définitivement de tout discours…
A suivre par là…